Petite blague...
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Re: Petite blague...
attention pour les réactions réligieuses. On ne se moque pas...
gino- Nombre de messages : 39
Localisation : enghien
Date d'inscription : 13/01/2006
Re: Petite blague...
Petites histoires :
L´histoire se serait passée dans un des grands crus détenu par les Rothschild... Est-elle vraie ?
- ´Qui prête aux riches, prête à rire...´
L´été avait été particulièrement sec et à quelques jours des vendanges, les grains de raisin étaient petits, durs comme des chevrotines...
Une ondée orageuse s´abattit sur la propriété, juste à point pour faire grossir les grappes.
A son régisseur inquiet, le Baron déclara : ´Ce n´est pas de la pluie qui tombe, mais de l´or !´. L´homme de terrain lui rétorqué : ´Si c´était vraiment de l´or... Monsieur le Baron tiendrait son parapuis à l´envers !´.
_______________
La poésie est partout chaque jour sous nos yeux :
Vous avez lu :
PRINCE DE LA BALTIQUE DANS SA NAGE PROVENÇALE
Il fallait comprendre : ´Hareng mariné à lhuile´.
EMINCE CHAMPETRE DE BUF AUX BATONNETS DE TUBERCULES ANDINES vous annonçait un ´mini steak-semelle sur salade flétrie accompagné de frites fraîchement décongelées´.
De même ISSU DES VIEUX CEPS DE NOS PLUS NOBLES CEPAGES sous entendait ´dès quelle pissera plus assez cte parcelle, je larracherai´.
DANS LE RESPECT DUNE TRADITION MULTI-SECULAIRE égalait ´avec la machine à vendanger et le concentrateur, bon an, mal an, je tire toujours le même pinard´.
CE VIN MAGNIFIERA ROTIS, GIBIERS ET FROMAGES AFFINES, traduisez : ´vous aidera à déglutir baby-buf italien, volailles de batterie et camemberts plâtreux ´.
Les nouveaux poètes ne sont plus chez Seghers ou à la N.R.F. : ils rédigent menus dhostellerie et contre-étiquettes de vins interlopes.
__________
Buvez les toutes ! Dieu reconnaitra les siennes !
Philippe
L´histoire se serait passée dans un des grands crus détenu par les Rothschild... Est-elle vraie ?
- ´Qui prête aux riches, prête à rire...´
L´été avait été particulièrement sec et à quelques jours des vendanges, les grains de raisin étaient petits, durs comme des chevrotines...
Une ondée orageuse s´abattit sur la propriété, juste à point pour faire grossir les grappes.
A son régisseur inquiet, le Baron déclara : ´Ce n´est pas de la pluie qui tombe, mais de l´or !´. L´homme de terrain lui rétorqué : ´Si c´était vraiment de l´or... Monsieur le Baron tiendrait son parapuis à l´envers !´.
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La poésie est partout chaque jour sous nos yeux :
Vous avez lu :
PRINCE DE LA BALTIQUE DANS SA NAGE PROVENÇALE
Il fallait comprendre : ´Hareng mariné à lhuile´.
EMINCE CHAMPETRE DE BUF AUX BATONNETS DE TUBERCULES ANDINES vous annonçait un ´mini steak-semelle sur salade flétrie accompagné de frites fraîchement décongelées´.
De même ISSU DES VIEUX CEPS DE NOS PLUS NOBLES CEPAGES sous entendait ´dès quelle pissera plus assez cte parcelle, je larracherai´.
DANS LE RESPECT DUNE TRADITION MULTI-SECULAIRE égalait ´avec la machine à vendanger et le concentrateur, bon an, mal an, je tire toujours le même pinard´.
CE VIN MAGNIFIERA ROTIS, GIBIERS ET FROMAGES AFFINES, traduisez : ´vous aidera à déglutir baby-buf italien, volailles de batterie et camemberts plâtreux ´.
Les nouveaux poètes ne sont plus chez Seghers ou à la N.R.F. : ils rédigent menus dhostellerie et contre-étiquettes de vins interlopes.
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Buvez les toutes ! Dieu reconnaitra les siennes !
Philippe
Philippe- Nombre de messages : 40
Date d'inscription : 13/01/2006
Comment lire une carte (suite)
Ambroisie de dinde aux pruneaux* : Foutage de gueule
Balsamique : Parfois vinaigre, souvent attrape-mouche.
Cœur de cabillaud* : c’est mieux que pieds de porc.
Consomé d'algue* : Authentique.
Crème de balsamique* : Tarte à la crème.
Crème de chlorophylle* : uniquement si c’est de l’Hollywood. Voir aussi : Fraîcheur de vivre et de légumes.
Cross Over: Nouvelle tendance à la mode dans peu de temps. Consiste à mêler un peu de n'importe quoi avec beaucoup de tout.
Chroniqueur gastronomique: raté obligé de se taper de l’ambroisie de dinde, un poulet au coca, un moelleux à la fraîcheur de chocolat en croûte de crème brûlée et ne se sentant pas le droit de payer.
Etoile : voir petit livre rouge.
Fusion food: courant déjà dépassé de la bouffe globale qui consiste à mêler un peu de tout avec beaucoup de n'importe quoi. Le sommet fut atteint avec le poulet au Coca*. Ringard.
Fraîcheur de légumes* : imaginez l’inverse. Juste pour le fun ; goûtez notre pourri de légumes.
Fraîcheur de vivre : Voir chewing-gum.
Fromages : Parents pauvres.
Huile aux truffes : Si souvent « de truffes » que j’ai envie de posséder un moulin. Si peu souvent à la truffe que je fais une allergie au synthétique.
Huile d’olive : Bouteille italienne mise en avant dans la salle et bidon grec en cuisine
Jus à l’encre de sèche* : gaffe au mégot…
Langoustine du Guilvinec : Petit crustacé décapode à très très forte capacité de reproduction en saison.(le nom du port est interchangeable)
Loundge : Truc à la mode il y a dix ans à Londres, cinq à Paris et deux à Bruxelles.
Moelleux au chocolat* : bouée pour chef en manque de créativité.
Moelleux au chocolat fourré de crème brûlée* : et une fraîcheur de fruits en coulis continu ?
Orthographe : Truc à la mode il y a cent ans à Londres, cinquante à Paris et trente à Bruxelles. Totalement dépassé.
Persillade d'ail* : Aillade au persil ?
Petite : Adjectif extrêmement répandu chez les restaurateurs.
Petite dégustation, petite entrée, petite bite, grosse addition.
Petite poêlee de coquilles de mer coriandre* : RE-authentique
Pique-assiette : Voir chroniqueur gastronomique
Piment d’Espelette* : poudre rouge pour les yeux surtout
Produit d’origine : Traçabilité version gastronomique
Saumon massé à la Rodenbach et herbettes* : Toujours mieux que le maquereau de Hollande caressé dans le sens du poil.
Sushi* : Souvent de quoi s’en faire.
Tartare* : Pseudo pour jouer un Américain à Paris.
Tarte Tatin* : Pas loundge du tout, même avec deux belles boules. De glace.
Terroir : Caisse ?
Thon rouge germon mi-cuit au Sancho* : Et son don qui shoote en croûte de sel.
Tombée de légumes* : Au champ d’honneur au moins.
Vitelotte négresse* : Patate tellement snobe qu’elle est mauve et pas blanche. Un comble à Bruxelles.
Le comité de rédaction tient à remercier les nombreux restaurateurs qui ont inscrit à leur carte les appellations précédentes, reconnaissables à l’*. Toutes parfaitement authentiques et prélevées sur leur site internet. Merci, merci, merci et encore merci.
Balsamique : Parfois vinaigre, souvent attrape-mouche.
Cœur de cabillaud* : c’est mieux que pieds de porc.
Consomé d'algue* : Authentique.
Crème de balsamique* : Tarte à la crème.
Crème de chlorophylle* : uniquement si c’est de l’Hollywood. Voir aussi : Fraîcheur de vivre et de légumes.
Cross Over: Nouvelle tendance à la mode dans peu de temps. Consiste à mêler un peu de n'importe quoi avec beaucoup de tout.
Chroniqueur gastronomique: raté obligé de se taper de l’ambroisie de dinde, un poulet au coca, un moelleux à la fraîcheur de chocolat en croûte de crème brûlée et ne se sentant pas le droit de payer.
Etoile : voir petit livre rouge.
Fusion food: courant déjà dépassé de la bouffe globale qui consiste à mêler un peu de tout avec beaucoup de n'importe quoi. Le sommet fut atteint avec le poulet au Coca*. Ringard.
Fraîcheur de légumes* : imaginez l’inverse. Juste pour le fun ; goûtez notre pourri de légumes.
Fraîcheur de vivre : Voir chewing-gum.
Fromages : Parents pauvres.
Huile aux truffes : Si souvent « de truffes » que j’ai envie de posséder un moulin. Si peu souvent à la truffe que je fais une allergie au synthétique.
Huile d’olive : Bouteille italienne mise en avant dans la salle et bidon grec en cuisine
Jus à l’encre de sèche* : gaffe au mégot…
Langoustine du Guilvinec : Petit crustacé décapode à très très forte capacité de reproduction en saison.(le nom du port est interchangeable)
Loundge : Truc à la mode il y a dix ans à Londres, cinq à Paris et deux à Bruxelles.
Moelleux au chocolat* : bouée pour chef en manque de créativité.
Moelleux au chocolat fourré de crème brûlée* : et une fraîcheur de fruits en coulis continu ?
Orthographe : Truc à la mode il y a cent ans à Londres, cinquante à Paris et trente à Bruxelles. Totalement dépassé.
Persillade d'ail* : Aillade au persil ?
Petite : Adjectif extrêmement répandu chez les restaurateurs.
Petite dégustation, petite entrée, petite bite, grosse addition.
Petite poêlee de coquilles de mer coriandre* : RE-authentique
Pique-assiette : Voir chroniqueur gastronomique
Piment d’Espelette* : poudre rouge pour les yeux surtout
Produit d’origine : Traçabilité version gastronomique
Saumon massé à la Rodenbach et herbettes* : Toujours mieux que le maquereau de Hollande caressé dans le sens du poil.
Sushi* : Souvent de quoi s’en faire.
Tartare* : Pseudo pour jouer un Américain à Paris.
Tarte Tatin* : Pas loundge du tout, même avec deux belles boules. De glace.
Terroir : Caisse ?
Thon rouge germon mi-cuit au Sancho* : Et son don qui shoote en croûte de sel.
Tombée de légumes* : Au champ d’honneur au moins.
Vitelotte négresse* : Patate tellement snobe qu’elle est mauve et pas blanche. Un comble à Bruxelles.
Le comité de rédaction tient à remercier les nombreux restaurateurs qui ont inscrit à leur carte les appellations précédentes, reconnaissables à l’*. Toutes parfaitement authentiques et prélevées sur leur site internet. Merci, merci, merci et encore merci.
serial cork killer- Nombre de messages : 95
Localisation : le nez sous le robin
Date d'inscription : 02/02/2006
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